Le plus ancien type de biorésonance est la lumière du soleil. Lorsque ses rayons, en tant oscillation électro-magnétique d'une fréquence définie, touchent notre peau, ils déclenchent des adaptations régulatrices, comme la pigmentation ou la formation de vitamine D. Ceci est le cas d’un grand nombre d'autres fréquences rencontrées au cours de la vie qui produisent elles aussi certains d'effet sur l'organisme humain. Il est intéressant de noter que la physique moderne nous amène à questionner des concepts aussi vieux que la matière. A ce sujet Max Planck disait : « En réalité, la matière n'existe pas. Chaque chose est composée d'oscillation. »

Dans le domaine médical, la résonance biologique signifie rechercher puis transmettre toutes les fréquences nécessaires à la stimulation et à la régulation optimal de l'organisme. La science moderne a découvert que tous les tissus du corps génèrent des champs d'énergie électromagnétique.
Les molécules d'eau et de substances organiques ont leurs propres fréquences de résonance naturelles dans les fréquences d'onde de l'infrarouge lointain (FIR). Par conséquent, ils vibrent vigoureusement à cette fréquence et deviennent le radiateur ainsi que le récepteur de la fréquence. La technologie de biorésonance détecte et lit les oscillations électromagnétiques ultra fines produites par chaque molécule, cellule, organe, glande et système de notre corps. Les champs énergétiques naturels du corps sont altérés lorsque les tissus deviennent malades ou endommagés. Chaque bactérie et chaque virus a sa propre composition moléculaire unique et sa fréquence de résonance spécifique. Les substances organiques peuvent résonner à plus d'une fréquence mais la somme de ces fréquences forme une fréquence composée qui leur est propre.

Suite à des recherches approfondies, les scientifiques ont découvert que l'introduction d'un champ énergétique extérieur dans un corps en mauvaise santé, comme des fréquences composées uniques de bactéries par exemple, était un moyen d'identifier quelle fréquence spécifique déclenchait une résonance amplifiée chez le patient, le faisant se sentir plus mal, et ainsi fourni un moyen de diagnostiquer la bactérie causale. A l’inverse, les tests ont confirmé que l'introduction d'un champ énergétique extérieur identique à ceux produits par les cellules saines avait la capacité de produire des résultats thérapeutiques.

En somme, la technologie de biorésonance agit comme un « circuit d'inversion » produisant une image miroir des oscillations pathologiques de l'agent pathogène le rendant inerte. Les modèles de fréquence résonnent avec les modèles de fréquence moléculaires pathologiques contenus dans les structures de cluster ce qui conduit à un découplage des liaisons hydrogène dans les structures de ce cluster. En conséquence, l'oscillation d'interférence moléculaire stockée dans le cluster perd sa configuration et son intensité d'oscillation précédemment stables. Cela revient à passer un démagnétiseur puissant sur des aimants collés à la porte de votre réfrigérateur, l’effet produit les fait tous tomber.  Ce que l'on observe dans la pratique clinique, c'est que les toxines sont libérées dans la circulation où elles doivent être éliminées par l'urine, les selles, la peau et la respiration. La capacité de l'organisme à se réguler et à se détoxifier est ainsi stimulée et stabilisée. C'est pourquoi il est si important de boire beaucoup d'eau après le traitement.

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