Les vibrations musicales
La puissance cachée de la musique et ses pouvoirs par Michel Gautier
Formé dans le lycée agricole de St Aubin du Cormier en Bretagne, Michel Gautier rejoint d’abord l’exploitation viticole de son père avant de diriger sa propre exploitation en 1984.
Fin observateur, il analyse l’influence de l’homme sur le monde minéral, végétal et animal, et interrogé également les accords musicaux dans le solfège ancien. Dès 1987, il rassemble ses centres d’intérêt sur le terrain du développement personnel où la connaissance de soi devient pour lui, l’éléments central. Indépendance alimentaire, influence de l’homme sur le vivant, mais aussi plénitude constante, font partie de ses préoccupations quotidiennes.
« Si vous voulez connaître le secret de l’univers pensez en termes de fréquences et de vibrations » disait le célèbre inventeur Nikola Tesla. Une phrase qui prend tout son sens au cours des recherches de Michel Gautier qui dès l’âge de 16 ans va se passionner pour l’influence de la musique sur les végétaux ainsi que sur les animaux. Il grandit au cœur de l’exploitation agricole de son père lui procurant ainsi le cadre idéal pour mener à bien ses expériences aux résultats très rapidement saisissants.
Très vite, il constate que l’écoute régulière, à raison de deux heures par jour, de morceaux du compositeur Beethoven rend les animaux de l’exploitation plus doux, plus propices au contact humain tout en favorisant la production de lait chez certains. A contrario, d’autres morceaux exacerbent leur agressivité ou leur agitation.
– Quelle liaison existe-t-il entre les organismes vivants et la musique ?
C’est un constat d’apparence anodin qui va bouleverser Michel Gautier et donner une toute autre tournure à ses recherches. C’est une chanson de John Lennon qui lui met la puce à l’oreille ou plutôt le « LA » à l’oreille. A sa plus grande surprise, la note « LA » est accordée sur une fréquence de 432, ce qui dénote des pratiques actuelles privilégiant les musiques accordées sur une fréquence de 440 hertz. Après de nombreuses investigations en la matière, peu de résultats lui permettent de mettre en corrélation la fréquence musicale en 440 hertz et son influence sur l’Homme contrairement à celle en 432 !
– La note « SOL» possède une fréquence de 384 hertz correspondant ainsi très exactement à celle de l’oxygène. Hasard ? Et pourtant n’est-il pas curieux de constater que la pratique de l’agriculture exige que l’on aère le sol pour lui donner de l’oxygène ? Ce même sol agricole à l’écriture similaire à celle de la note de musique ?
-Toujours pas convaincus ? Alors voici un autre exemple : quand on accorde une musique en 432 hertz, le « DO » sonne à 256 hertz ce qui concorde singulièrement avec la fréquence de la résonnance permettant l’activation chlorophyllienne des plantes !
De nombreuses autres correspondances en lien avec la fréquence 432 ont également fait l’objet de démonstrations plus invraisemblables les unes que les autres mais la liste est longue et il nous faut encore vous expliquer comment contrôler votre chat Félix via votre nouvelle playlist !
Notez néanmoins que les célèbres scientifiques Benvéniste et Emoto ont permis d’incroyables travaux sur l’eau prouvant que cette dernière dispose d’un formidable pouvoir de captation et, nous vous le donnons en mille, d’une résonnance de 432 hertz ! Et devinez qui est composé à 70% d’eau ? Ni plus ni moins que nous-mêmes !
- Dans quelle mesure la musique peut affecter notre santé/ notre quotidien ?
Michel Gautier se veut catégorique : la musique que nous écoutons au quotidien de façon récurrente peut sensiblement impacter notre santé, notre humeur ou encore notre développement personnel !
Suite à ses expériences menées sur ses végétaux et ses quelques sujets humains, le constat tombé se veut sans appel : la musique peut tuer, faire végéter, rendre florissant tout comme influer sur la santé mentale et physique d’un être humain.
L’explication à ses révélations aussi terrifiantes que fascinantes se trouve dans nos 7 centres énergétiques chacun reliés à 7 notes distinctes : DO RE MI FA SOL LA SI.
Chaque note correspond ainsi à un organe qui lui-même dispose de sa propre fréquence donnée. Dans la continuité, retenez que chaque acide aminé engendre sa propre fréquence et que 8 seulement sur les à peu près 300 recensés sur notre échelle hydrophobocite, se veulent indispensables à notre survie.
La musique de par la fréquence qu’elle génère est donc en mesure de « nourrir » certains de nos acides aminés ! Le Canon de Pachelbel est d’ailleurs très connu pour sa richesse thérapeutique en activant nos 8 acides aminés primordiaux ! Les 8 tonalités qui le composent sont sensiblement accordées sur nos 8 acides aminés indispensables et permettent entre autres de réguler le métabolisme tout en opérant comme formidable facteur anti-stress. A écouter donc sans modération !
Néanmoins toutes les chansons de notre répertoire ne peuvent prétendre à d’aussi nobles vertus et force est malheureusement de constater que les musiques les plus populaires sont souvent loin de jouer en symbiose avec nos acides aminés préférés ! Certains morceaux dits « néfastes » auraient même le pouvoir d’activer différentes hormones associées à celles de la dépression… !
Platon a dit : « Pour contrôler le peuple, il faut contrôler sa musique. ».
Michel Gautier conclut sur l’hypothèse d’un monde certainement plus heureux si ce dernier reposait uniquement sur une fréquence vibratoire de 432. Mais en attendant ce jour mélodieux, rappelons que notre comportement influe sur notre taux vibratoire. Ainsi, plus notre taux vibratoire est élevé, plus nous émettons d’ondes positives et de cause à effet, dispensons le bien autour de nous. (C’est Michel qui l’a dit ! )
La musique de manière générale reste donc un outil formidable aux pouvoirs incroyables ! A nous d’en prendre conscience et de mesurer tout l’impact de notre influence dans sa diffusion et création.