Qu'est-ce la thérapie par biorésonance ?
L'histoire de la biorésonance
En regardant en arrière dans l'histoire, les prêtres égyptiens s’étaient déjà familiarisés avec les mesures radiesthésiques pour établir un diagnostic énergétique en utilisant une tige de fourche, comme on peut le voir sur des œuvres d'art trouvées dans les tombes des pharaons dans la vallée des rois (3000 à 332 avant JC). La baguette de sourcier a également joué un rôle particulier au XVe siècle, comme le soulignent les écrits de Paracelse.
Puis, dans les temps plus proches de nous, les bases sont posées en 1925, par l’ingénieur russe Georges Lakhovsky qui publie un livre intitulé « Le secret de la vie » dans lequel il stipule que tout être vivant émet des radiations (ou signaux électro-magnétiques), et qu'un noyau cellulaire agit comme un circuit d'oscillation électrique, semblable à un émetteur-récepteur radio.
En 1945, le professeur Burr du département médical de l'Université de Yale, pendant 7 ans a mené une recherche approfondie qui a confirmé que tous les organismes vivants dégagent des champs électromagnétiques plus ou moins complexes. Il a démontré que ces « champs de vie » pouvaient être utilisés pour prédire l’apparition ou l’aggravation d’une éventuelle maladie en notant leurs variations.
Dans les années 1950 et 1960, le Dr Reinhold Voll, un médecin allemand, a été le pionnier de l'électro-acupuncture moderne sur la base de preuves scientifiques que la résistance électrique des points d'acupuncture chinois le long des méridiens varie en fonction de notre état de santé.
Selon lui, l'hyperfonctionnement (activation, stimulation d'un organe ou d'un système, conditions inflammatoires) réduit la résistance électrique (mW) du méridien associé à cet organe/ système dans le corps et mène à une conductivité accrue (mV). De même, l'hypofonctionnement (ralentissement fonctionnel et dégénérescence) augmente la résistance électrique (mW) du méridien associé à l’organe/ système provoque une diminution de la conductivité (mV). Il a également découvert que des remèdes homéopathiques efficaces, ainsi que certains agents thérapeutiques à base de plantes et biochimiques, maintenus à même la peau normalisaient ce type de résistances anormales. Le même principe s’applique aussi si les remèdes et les agents thérapeutiques sont placés dans un circuit électronique fermé entre le patient et la personne qui passe le test. Ainsi, si des substances mal tolérées/allergènes étaient placées dans le circuit, elles provoquaient une augmentation de la résistance cutanée aux points d'acupuncture affectés. L'application clinique de ces découvertes est devenue connue sous le nom d'électro-acupuncture selon Voll (EAV) et devient la base de nombreux types de tests de biorésonance qui ont été développés depuis. Le terme dépistage électrodermique (EDS) est un nom plus moderne de ce test qui se base sur la lecture électrique de surface de la peau.
Pendant plus de 30 ans à partir des années 1960, un autre chercheur, le Dr. Robert Becker a étudié de manière approfondie le lien entre la physiologie humaine et l'électricité (électromédecine). Il fait de nombreux essaies et prouve que la stimulation électrique par courant continu peut favoriser la cicatrisation des os et d'autres tissus, et même leur régénération. Son livre « The Body Electric » raconte l'histoire fascinante de notre nature bioélectrique.
Dans les années 1970, le Dr Morell en Allemagne a utilisé les énergies des propres oscillations des patients afin de mener une thérapie individuelle et efficace qui déclenche une nouvelle ère de médecine, thérapie par biorésonance.
Toujours en Allemagne, le Dr Schimmel a simplifié l'approche multipoints d'acupuncture selon Voll (EAV). Il a découvert qu'il pouvait tester efficacement n'importe quelle substance (nourriture/ médicament/ herbe etc.) en utilisant des ampoules homéopathiques spécialement sélectionnées dans le circuit électronique entre le patient et le testeur. Il donne à ce type de test le nom « Vega » et appelle ces ampoules spéciales « des filtres ».
Le professeur Popp a également découvert que l'ADN est la source de « biophotons » responsables du déclenchement des réactions biochimiques dans les cellules vivantes. Enfin, Paul Schmidt a conçu un système d'antennes qui est en phase avec les fines oscillations électromagnétiques de Schumann, les améliorant électroniquement et par des systèmes informatisés de recherche de réponses tissulaires par biorésonance.
En effet, les systèmes bioénergétiques du corps sont accessibles par la radiesthésie pendulaire, la kinésiologie (test musculo-esprit), l'électro-acupuncture selon Voll (EAV) et par le Vega test. Depuis les années 1980, divers dispositifs bioénergétiques ou de biorésonance ont été développés pour des applications de diagnostic et de traitement. Les appareils de biorésonance électromagnétique modernes sont désormais entièrement informatisés et intègrent généralement une gamme de résonances diagnostiques et thérapeutiques préprogrammées.
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